Friday, January 11, 2013

DES ÎLES, ENCORE DES ÎLES ... AUX PHILIPPINES !


It’s ‘’More fun’’ in the Philippines.

Ce qui peut se traduire par c’est plus marrant, plus rigolo, plus amusant … aux Philippines !


Le nouveau slogan du Ministère du Tourisme afin de promouvoir les Philippines au niveau international. Et la mayonnaise est en train de prendre, tout à coup le monde entier découvre le charme et la beauté de l‘archipel. On en parle même dans le Figaro et en bien, c’est pour vous dire.

Quelques rares endroits commencent même à être connus et je citerai : Samal Island, l’île qui se trouve en face de la ville de Davao ; Siargao et la cloud 9, une île surtout connue des surfers, mais qui souhaitent garder le secret de ce petit jardin digne de l’Eden ; Bohol et la plage de Panglao ; Palawan la dernière frontière avec Coron et El Nido qui en sont les destinations privilégiées ; Puerto Galéra et son passé historique, l’histoire des galions, son port naturel et surtout ses sites de plongée, à ce jour la Mecque de la plongée sous-marine ; Caminguin Island. Mactan toujours Island (n’oubliez pas que nous en avons 7.107 aux Philippines) et celle, à ce jour la plus connue … Boracay.


Mais ce que je peux vous assurer, c’est que des îles comme Boracay, certaines sont même plus belles, il en existe des dizaines, les plages plus belles se comptent par centaines et les très belles plages sont des milliers.

Le gros problème réside dans les infrastructures, se rendre sur certains sites prend beaucoup de temps et le temps des touristes est précieux.

Imaginons que je vous amène en visite aux Calaguas Islands, un groupe d’îles et d’îlots situés à quelques dizaines de kilomètres des côtes sur la façade Est de l’archipel, dans l’océan Pacifique.

Le voyage Europe jusqu’à la sortie de l’aéroport de Manille, vous comptez 24 heures, au moins 24 heures. Dix-sept heures pour le vol et une escale, il vous faut arriver deux heures avant le  départ du vol, une heure pour les formalités à l’arrivée, récupérer les bagages que l’on charge dans le van et en route pour le Sud.



A vol d’oiseau, 300 kilomètres, par la route beaucoup plus et arrivée du côté de Daet après un trajet de huit heures. Attente pour un bateau, sauf si l’on a pris la précaution dans louer un auparavant et c’est parti pour une traversée maritime, qui en fonction des conditions de la mer, va durer entre deux et trois heures.

A nouveau douze heures en transport et il en faudra autant pour le retour. Donc quelle que soit la durée de votre séjour, au minimum trois journées vont être consacrées uniquement aux transports.
Pour les voyages à l’intérieur du pays, voyager de nuit peut être une solution.
Il y a des bus avec couchettes pour les longs parcours, mais dormir alors qu’il y a tant de magnifiques paysages à voir et à photographier.


Les derniers sondages démontrent que pour avoir une certaine tranquillité, tout en profitant d’une vie nocturne très animée, pour ne pas dire agitée, Boracay est un ‘’more fun’’, un ‘’must’’.
Le site de réservation international d’Agoda désigne Boracay comme la destination numéro une en Asie pour les soins de relaxation et de Spa.

Dans un sondage séparé, toujours sur le site d’Agoda, Boracay se classe en troisième position sur une liste mondiale des endroits ou la vie nocturne est la plus excitante.
Cette île paradisiaque, située au milieu de l’archipel des Philippines, offre tout ce dont on peut s’attendre à trouver sur une île paradisiaque.


Boracay surpasse Bali en Indonésie, Koh Samui et Chiang Maï en Thaïlande, ainsi que Cameron Highlands en Malaisie, ceci dans une liste basée sur une enquête réalisée auprès de 130.000 touristes.

Si l’île est fameuse pour ses cocotiers et ses plages de sable blanc, c’est surtout un haut lieu mondial de la vie nocturne. Toujours sur le même site, selon un sondage sur la vie nocturne, sondage effectué auprès de 113.000 personnes, seuls Bangkok et Dubaï arrivaient juste devant Boracay.

Pattaya, Tokyo, Phuket, Macao, Taipei et Bali n’arrivaient qu’après Boracay.

L’île de Boracay a également été désignée comme la meilleure destination insulaire mondiale pour l’année 2012 par le magazine Travel + Leisure. Elle a battu plusieurs plages célèbres comme les Galápagos en Equateur, Maui à Hawaii et l’île de la grande barrière en Australie.
L’île des Visayas est la plage ‘’Destination Asie 2012’’ de TripAdvisor sur son site, battant ainsi les plages de Thaïlande, d’Indonésie et de l’Inde.

De ce fait, de plus en plus de chaînes internationales cinq étoiles s’installent à Boracay.
Pourquoi Boracay ?


Je me suis souvent posé la question. Il y a dans ce pays de nombreux autres endroits encore plus merveilleux que cette petite île située au nord d’Aklan.

Peut être un début de réponse avec les informations que Steph a eu la gentillesse de me faire parvenir ces derniers jours. Steph était de nouveau accompagné de Jb qui, lors de son premier séjour pour lui à Boracay, était malade. Il avait donc bien l’intention de prendre sa revanche.

Récit de Steph, à l’occasion de son Nème séjour à Boracay.


Jb était resté dans sa chambre d'hôtel… pas mal de temps, mais il a cependant apprécié son 1er séjour aux Philippines, à Boracay plus exactement …

Oui, je sais, Boracay est très décrié sur les forums, on l'appelle le piège à touristes, etc. Personnellement, j'aime bien …

Bien qu'ayant pu apprécier que modérément la San-Mig light à cause des médicaments et de son infection à la gorge, je repense à quelques courts, mais bons moments passés lors de ses dernières vacances en mars. J'avais pour habitude de me rendre dans les bars de la station 3 qui est très calme et reposante et lui avait présenté le bar à MIKE….

Mike, une légende à la station 3. A chaque fois que je le vois, il est habillé toujours pareil : un jean qui date, je pense des années 80 et torse poil comme on dit … Il est allemand, mais parle très bien français.

Il vit dans une chambre à 500 pesos la nuit, est moniteur de plongée et a deux resorts (en co-gérance je pense). C'est un personnage haut en couleur que je suis toujours content de revoir. On avait aussi nos deux cantines : le Tree House (n'est-ce pas Jb … Mlle Cécil) et le Sundown qui est un resort tenu par un autrichien, personnage haut en couleur lui aussi.

Je ne développe pas cette fois-ci. Il y aurait également beaucoup de choses à dire.

Donc Jb a gardé de très bons souvenirs. Etant malade, les serveuses ont été au petit soin pour lui et ça s'est fini par une aide (garde) à domicile. Au moins, il gardera en souvenir sa JELIVIEN.

Un des derniers soirs, alors qu’il se sentait un peu mieux, on décida de faire la tournée des grands ducs… Ce qui devait arriver arriva : après s'être rendu au CLUB PARAW, the place to be à BORACAY (souvenirs de mars 2012).

Novembre 2012.
Arrivée à MANILLE (en provenance d’Angeles CITY).


Nous attendons une petite heure à l’aéroport et arrivons à BORACAY vers 16 heures… Après un petit trajet en tricycle et une quinzaine de minutes en bateau, nous débarquons à BORACAY.

Çà faisait longtemps. 4 mois après me revoilà.
Troisième séjour en 1 an… Mars – Juin et Novembre 2012. 
Je connais toutes les saisons … 4 fois en 1 an …
Je me sens comme à la maison…

Et ce que j’apprécie, c’est le climat. Saison sèche, saison humide, pas vu trop de différence : j’ai toujours pu me baigner. Toujours la même tenue : short / maillot de bain – t-shirt – tongs… LA BELLE VIE (éviter quand même le mois de mars, car il y a des algues vertes et ça gâche le paysage).

Petit conseil, en sortant de l’aéroport, ignorez les personnes qui vous proposent de gérer le transfert aéroport île de Boracay. Allez de suite à la station de tricycles en face de la sortie, payez une modique somme et en 5 minutes vous arrivez au port. Là, vous faites l’effort de porter vos valises et vous ferez des économies.

Nous avons réservé un hôtel sur internet, station 2. Le centre-ville de BORACAY.

Après avoir séjourné trois fois à la station 3 et une fois à « DINIWID BEACH », je souhaitais être au centre, au plus près de l’agitation. Autre contexte !

Donc nous descendons à D’MALL, que l’on peut comparer au centre-ville d’une ville avec tous les commerces et restaurants etc. Boracay est une petite île de 7 kms sur 4 kms à peu près. Nous marchons un peu et arrivons dans une rue…. en terre battue et à l’hôtel. Petit hôtel sans prétention et pas de vue mer.
J’ai connu mieux ; à oublier. 

L’environnement est « local » !
Nous sommes chez les locaux. Ça ressemble à une maison. La chambre est correcte, propre, il y a une safety box, une clim (bruyante, mais une clim).  Il est 18 h 00. Je ne suis pas bien du tout ! 

Je subis le contrecoup des jours précédents. 
Claqué … pour moi, c’est clair … ce soir, c’est dodo.

Jb, après une sieste, est motivé pour sortir, comme je le comprends, on est à BORACAY. Moi, non et puis je connais, je me réserve pour le lendemain.


Nous allons quand même manger dans un de mes bars préférés à D’MALL : le Rumba bar, qui a une excellente carte au menu, surtout si vous aimez manger de la viande : t-bone, etc. Par contre, ce n’est pas donné : 800 PHP. C’est BORACAY, tout est assez cher, mais bon point pour le RUMBA : le personnel.  Quel plaisir pour les yeux.

Et ils ont de la Guinness !

En un an, c’est l’un des seuls endroits où le staff n’a pas changé ; ce sont toujours les mêmes serveuses, donc je suis en terrain connu. Un petit « hello how are you ? »Bon la dernière fois, j’étais en bonne compagnie. Par contre, ce soir, je commande un jus de mangue.  Et après avoir fini notre repas nous nous séparons Jb et moi.

Je me réveille vers 9 h 00 en forme et décide d’aller prendre un petit-déjeuner « filipin » (il faut aimer le riz au petit-déj’ mais j’ai l’habitude : en juin, c’était filipino breakfast tous les matins).

Je marche 10 minutes en direction du point central de station 2, le RED COCONUT. Après avoir bu deux cafés, qui je vois débarquer. C’est la vérité !!! Rien n’était prévu - mon ami Jb qui me raconte sa soirée- épique – non, il n’est pas sorti à l’EPIC CAFE de Boracay, mais sa soirée a été épique.

Il avait commencé au NIGI NIGI,  bar de plage sympa (sièges en osier) entre la station 2 et 3, et après … il en a fait des bars. Il est allé au CLUB PARAW.

C’est quelque chose le Club Paraw. Moi, je ne danse jamais, sauf au Club Paraw.
Il y a une ambiance festive, une bonne ambiance, comme on ne retrouve pas en France.
Tout le monde a le sourire. La pêche…
Les filles sont déchaînées. Les « filipinettes » adorent danser.
Les touristes sont heureux.

D’ailleurs, on croise toujours de belles australiennes, déchaînées elles aussi. 

J’ai en mémoire un touriste en mars dernier, la cinquantaine, qui portait un bermuda avec des mocassins et une chemisette à fleurs, déchaîné il était.



Et, ils (les barmen du Club Paraw) servent des verres énormes, des bols, pas très chers.
Toujours est-il que je conseille ce bar de nuit avec piste de danse.
Et bien sûr, l’entrée est gratuite et look de circonstance : short- t-shirt (la chemise ça fait trop habillé) et tongs.

C’est le mieux à Boracay.
Il se trouve au début de la station 1 et l’entrée est gratuite - relax ce sont les vacances.
Il y a deux bars : je vous conseille le bar près de la plage.
On entend le bruit des vagues et il y a des tables.

Et on est bien. 

La musique est généraliste avec des hits « ‘filippins’ comme Guy Sebastian who’s that girl ».
Après nous sommes allés vers la station 3, au Congas bar prendre un jus de fruit et profiter de la plage ; quel bonheur de pouvoir se baigner !

Je remarque en marchant qu’il n’y a pas grand monde cette année à la station 3. C’est mort.
C’est pourquoi les gens qui disent que Boracay c’est la côte d’azur, je m’inscris en faux. 

Là, par contre, il n’y a personne. Je reste facilement 35 minutes dans l’eau.
Je reviens au bar et Jb s’est endormi !

Après avoir fait la bise à la serveuse, souvenir de mon premier séjour en 2011, le temps de finir mon « jus de mangue» et nous allons manger chez l’autrichien. Oh surprise, que de changements en quatre  mois…

Nouveau staff, nouvelle déco. Gros travaux, il a investi « grave », ça n’a plus rien à voir avec la petite guinguette des débuts.



Par contre, l’autrichien est bien présent. On lui dit bonjour … Il n’a pas changé.
La san-mig, l’ordinateur posé sur le bar, la cigarette fume et la chemisette est ouverte.
Quelle santé !!!

Nous avalons une petite salade (avec peine) et une San-Mig.
Jb, l’alsacien, qui adore les saucisses frites … ça fait pitié.
L’assiette est à moitié pleine : le gâchis.
Il me dit «  il faut que je dorme ».
Ok, let’s go.

Pendant que Jb dort, je profite pour aller marcher sur la fameuse « WHITE BEACH » et constate avec plaisir que c’est calme. Pas grand-monde cette année.

Je vais ensuite en fin d’après-midi au RUMBA BAR, j’adore les serveuses.
Je papote un peu avec la « chef ». « You again, where do you live, you are alone? »
« Where is your girl friend? ».  Bref, après deux Guinness… IL EST TEMPS DE REVENIR REVEILLER Jb.

Je suis dans une forme olympique, I MISS YOU BORACAY !

Je retrouve donc Jb à l’hôtel et après une douche, nous voilà partis.
Direction un petit bar qui se situe près du  restaurant TY BRAZ, 150 mètres après D’MALL.
C’est un petit bar en extérieur, mais une adresse à connaître.

Pourquoi ? 

La musique donne la pêche, dès 16 h c’est happy hours et le patron australien a le sens du commerce. C’est facile de se faire payer un verre. De plus, il fait toujours un bon casting.

Les « barwomen » (waitresses) sont magnifiques, très avenantes et parlent avec vous.
Il y règne une ambiance très conviviale. On discute avec tout le monde.
Les barmen sont très sympas aussi. 

J’adore ce bar.  Il y a aussi des « poufs » posés sur le sable, c’est le côté lounge, pour les amoureux …
Bon, ça tombe bien, ce soir nous sommes en solo.

Par contre, en novembre 2011, il y avait un casting de folie avec des serveuses plus âgées et qui faisaient le show.  J’ai un ami qui a invité une serveuse.  


Donc l’adresse : En face de l’HOTEL APPARTMENT, après le TYBRAZ, en face du tribal jam.

C’est très dur quand on « pose » son cul d’aller voir ailleurs.
Mais nous avons faim et allons à D’MALL manger une paella.
Le prix est conforme à BORACAY. 

Pour les petits budgets, préférez les restaurants et échoppes sur la main road. On divise par 3-4 les prix.
A garder en mémoire.
Sinon, vous pouvez aller au marché le matin : poissons, etc.
Ce n’est pas cher et c’est sympa. 

Il y a D’TALIPAPA près de la station 3 et un autre bien caché entre la 2 et la 3.
Après cet excellent repas, nous partons boire un verre au RED COCONUT.
Le bar est full. Il y a quelques filles… non accompagnées.

Dans les nombreux bars, il y a toujours des filles non accompagnées.
Cela peut être des vacancières, des pigistes qui viennent de Manille ou de Kalibo.


Je conseille aussi le CHARL’S BAR entre la station 3 et la 2. Un endroit sur la plage insolite, le groupe, le band, est placé derrière le bar et c’est toujours plein.
Bonne ambiance. 

Enfin, il n’y a que ça, DES BARS DE PLAGE, des plages et des bars..
Donc après avoir bu deux verres (je m’en souviens ce coup-ci), nous allons, à ma demande, dans mon bar préféré, le ‘’COCOMANGAS’’. Je me fais une joie d’y retourner.

C’est un bar situé non pas sur la plage, mais sur la route principale au début de la station 1. Prenez un scoot’ à D’MALL et en cinq minutes, pour un prix modique, vous y êtes (50 pesos… IT’S UP TO YOU !).
Le Cocomangas … une ambiance de folie ! 


Arrivez vers 21 heures si vous voulez une place au bar. |

Je vous conseille de vous asseoir entre les deux bars près des cuisines, c’est le meilleur emplacement si vous êtes célibataire en quête d’un cœur à prendre.
Laissez la magie opérer.
Et je vous garantie que vous ne sortirez pas tout seul !

C’est le Cocomangas…
Petit résumé : le bar a une piste de danse, le boss est australien, il ferme à deux heures et c’est toujours le feu.

Novembre, mars, juin, novembre, il y a toujours du monde. Je n’ai jamais vu de bagarres et pourtant çà « picole dure ».

On appelle le Cocomangas : le still standing, after 15 !
Concours à la con = qui peut boire 10 verres, etc.
Pas pour moi…
 
Donc, bien sûr, je vois mon barman préféré.
« Oh mister COME BACK AGAIN »  

Je n’ai pas le temps de lui dire ce que je veux boire que mon whisky coke est devant moi.
Le salaud, il a mis la dose ! Jb, lui, reste à la san-mig light.  Moi, cela ne passe plus. 

Il est 14 h 00, nous nous dirigeons station 2, Red Coconut. Hôtel central à Boracay avec possibilité d’avoir des transats sur la plage. Je dis à Jb : « j’oublie le bronzage ces vacances –ci ».
 Il est déjà 14 h 20.

Généralement, le programme était réveil 10 h 00, petit-déjeuner et bronzette et après marche sur « white beach ». Là, après ANGELES CITY,  je commence à fatiguer. 

J’avale un semblant de salade « caesar », copieux, mais pas terrible.
Donc, nous voilà au bar du Red Coconut, il est 14 h 30 et il y a déjà du monde.
Musique à fond.

Des nanas, mignonnes, qui font l’aller-retour entre le bar et la plage.  Elles portent très bien le maillot de bain deux pièces ; the place to be in Boracay. 



A VOS CRAYONS.
C’est l’endroit où vous devez venir pour chercher de l’amusement en plein après-midi.
Après avoir fini notre repas, le geste qui sauve : « une san-mig light  ». Là, je dis à Jb : « un alsacien et un breton ensemble … il y en a pas un pour dire stop  ». Les autres vacances je ne buvais jamais de bière l’après-midi : « ETRE ET DURER ».

Vous l’avez compris Steph et Jb sont venus aux Philippines pour s’amuser ; ils ne s’en sont pas privés et ils souhaitent revenir aussi vite que possible. Vous pouvez me croire, ils ne sont pas les seuls. Je précise qu’il n’y a pas que des hommes occidentaux qui se rendent à Boracay, il y a aussi de nombreuses jeunes femmes.

De jour comme de nuit c’est l’Hyper-Méga-Giga fête à Boracay.

Donc nos deux compères ont poursuivi ce genre d’aventure durant une bonne semaine avant que de remonter, pour une nuit, sur Manille.

Je vous livre le retour sur Manille.  

Ce matin, on se réveille de bonne heure, 9 heures.
Après avoir pris le petit-déj avec les misses, on fait le check-out et nous allons dire au revoir à MIKE, l’allemand du bar BEACHCOMBERS / CONGAS BAR à la station 3. On a de la chance, il est là.



Tournée générale : San-Mig light.

Après les au-revoir de circonstances, nous arrivons après deux heures à l’aéroport de KALIBO.

Pourquoi KALIBO, alors qu’il y a un aéroport à CATICLAN à cinq minutes de l’embarcadère ? Tout simplement pour le prix du vol… Faire MANILLE – CATICLAN avec CEBU PACIFIC revient à 40 € environ et faire le même vol, mais trajet inverse revient à 80 € !

Donc pour une modique somme, vous réservez une place dans un van et 1 h 30 plus tard à peu près vous arrivez à l’aéroport de KALIBO. Réservez sur ZEST AIR.

Comme nous avons un peu de temps devant nous, nous allons dans un bar en face de l’aéroport : on y passe une bonne heure et la musique est bonne. La chanson des vacances : « who’s that girl ». On rigole avec les serveuses.

Ensuite nous testons un massage dans la salle d’attente.
Grand moment de relaxation garanti.
Je m’endors… Je le referai.

Je suis super détendu et je dors dans l’avion.
Quand « au prix »,  j’allais oublier, concernant miss ok.
Elle m’a dit : « it’
s up to you !!! ».

.
Eux, ils ont la possibilité de s’en retourner afin de retrouver des forces … en travaillant.


Expériences, avis, critiques et commentaires, comme d’habitude sont les bienvenus.

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1 comment:

Unknown said...

jaimerais bien faire un tour en phillipines,l'autonme prochain je ferais une résa sur http://www.centrale-reservations.com/ et pourrais decouvrir toute cette belle richesse touristique